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Jude 3

 

 

 

Jude, esclave de Jésus Christ, voulait dans son épître nous entretenir, nous qui sommes enfants de Dieu, de « notre commun salut » (Jude 3). Mais, face à l'erreur qui s'était introduite parmi les chrétiens, il dit : « je me suis trouvé dans la nécessité de vous écrire afin de vous exhorter à combattre pour la foi qui a été une fois enseignée aux saints » (Jude 3).

Le but de ce petit article n'est pas de créer la polémique mais, à notre tour, de mettre en avant la véritable doctrine du salut.

Tous les hommes seront-ils sauvés ?

Un pur mensonge continue de se répandre, appelé « l’universalisme chrétien ». Celui-ci veut faire croire que tous les hommes seront sauvés à la fin, et que Dieu est trop bon pour juger les hommes incrédules et les condamner « à l'étang de feu » (l'enfer - Apoc 20, 15). Il s'agit d'une doctrine complètement étrangère à la Parole de Dieu. Au contraire, la Bible enseigne clairement qu'il « est réservé aux hommes de mourir une fois, - et après cela le jugement » (Hébreux 9, 27).

Oui, sache bien cela, toi qui lis ce petit article et qui n'a pas encore accepté ce salut gratuit que Dieu, dans sa grâce immense, offre à celui qui vient à Lui dans la repentance et la foi. Sache-le bien, Dieu ne te prend pas en traître, il parle à ta conscience et te dit : « le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur » (Romains 6, 23).

Toutes les religions mènent-elles à Dieu ?

Il existe aussi « l'universalisme inter-religieux », qui malheureusement est couramment prêché. Cette fausse doctrine enseigne que toutes les religions mènent à Dieu, et qu'il n'est pas nécessaire, pour aller à Dieu, de passer par Jésus-Christ pour trouver le salut. Cela aussi est un pur mensonge. La Bible, la Parole de Dieu, nous enseigne qu'il y a un seul Dieu (pas plusieurs) et aussi un seul médiateur (pas deux) entre Dieu et les hommes : l'homme Christ Jésus, qui s'est donné lui-même en rançon pour tous (voir 1 Timothée 2, 5-6).

N'oublions pas la signification en hébreu du nom de Jésus : « Iéshoua », l'Eternel est salut. Nous voyons bien qu'il y a de nombreuses religions dans le monde qui prétendent servir Dieu, mais aucune d'elle ne peut, par leur culte, purifier la conscience. Seul le sang de Jésus qu'il a versé sur la croix de Golgotha peut purifier la conscience ; même les sacrifices de l'Ancien Testament, qui pourtant étaient voulus de Dieu, ne pouvaient pas « rendre parfait quant à la conscience celui qui rend le culte » (Hébreux 9, 9).

Dieu est-il en chacun de nous ?

Certains enseignent aussi que nous portons tous Dieu en nous. Il est vrai que nous sommes créés à l'image de Dieu : « Dieu dit : Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance » (Genèse 1, 26). Mais, à cause du péché, cette image est, pour reprendre l'expression d'un ancien frère, comme une lampe à huile dont le verre est très noirci par la fumée et ne laisse plus passer la lumière.

La race humaine, toute entière, est une race déchue. Elle a fait banqueroute. Cependant, par « la nouvelle naissance » (Jean 3, 7), reçue par la foi en Jésus, nous accédons à nouveau à une relation filiale et pleine d'amour avec Dieu, qui maintenant est notre Père, ce Dieu qui est « lumière » (1 Jean 1, 5) et qui fait de nous des « fils de la lumière » (1 Thessaloniciens 5, 5).

Prenons garde à la Parole de Dieu.

Une des raisons, pour laquelle ces doctrines émergent même dans certaines églises, vient du fait que la Bible n'est pas acceptée comme étant « la Parole de Dieu » (1 Thessaloniciens 2, 13). Certains disent qu'elle contient la Parole de Dieu, mais n'est pas sa Parole : grande erreur. Prenons garde. Satan est « celui qui séduit la terre habitée tout entière » (Apocalypse 12, 9). « Ne sois pas sage à tes propres yeux » dit Proverbes 3, 7.

Soyons dans la crainte de notre Dieu et Père et jouissons beaucoup de sa tendresse et de son amour en Jésus.

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