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Tout me vient de Toi

 

 

 

 

 

Qui donc t'est semblable,

Jésus, mon sauveur ?

Lorsque tout m'accable

Tu m'ouvres ton cœur.

L'heureuse espérance,

soutien de ma foi,

La paix, l'assurance,

Tout me vient de toi !

Lorsqu'à ta venue

J'entendrai l'appel

de ta voix connue,

pour entrer au ciel,

Qu'est-ce que j'apporte ?

Qui voudra de moi ?

Tu m'ouvres la porte !

Tout me vient de toi !

(Hymnes et Cantiques, n° 174 strophes 2 et 3)

Oui, Seigneur Jésus tout nous vient de toi. Tout, absolument tout.

Par nature, "morts dans nos fautes"

Qu'avons-nous apporté de nous-mêmes si ce n'est nos péchés, notre misère, notre extrême pauvreté, notre endettement le plus complet. Nous sommes par nature « morts dans nos fautes et dans nos péchés » (Éphésiens 2, 1), « tous, nous sommes devenus comme une chose impure, et toutes nos justices, comme un vêtement souillé » (Esaïe 64, 6). Oui, en vérité comme le dit l'apôtre Paul : « je sais qu'en moi, c'est-à-dire en ma chair, il n'habite point de bien » (Romains 7, 18), nous sommes « vendus au péché » (Romains 7, 14), « esclaves du péché » (Romains 6, 17), sous son autorité, sous son pouvoir, sous sa tyrannie et nous ne pouvons rien faire pour nous sortir de cette terrible situation. La religion ne pourra rien faire pour nous, d'ailleurs laquelle choisir, il y en a tellement.

La voix du Fils de Dieu parle à notre conscience

Mais voilà qu'une voix s'est faite entendre, la voix du Fils de Dieu. « Je vous dis que l'heure vient, et elle est maintenant, que les morts entendront la voix du Fils de Dieu, et ceux qui l'auront entendue vivront » (Jean 5, 25). Et que fait-elle cette voix ? Elle « crie au dehors, elle fait retentir sa voix sur les places ; elle crie à l'entrée des lieux bruyants, aux ouvertures des portes ; elle prononce ses paroles dans la ville : Simples, jusques à quand aimerez-vous la simplicité, et jusques à quand les moqueurs prendront-ils plaisir à la moquerie, et les sots haïront-ils la connaissance ? Revenez à ma répréhension ; voici, je ferai couler pour vous mon Esprit, je vous ferai savoir mes paroles » (Proverbes 1, 20-23).

Elle est aussi une « voix douce, subtile » (1 Rois 19, 12), une voix qui parle à notre conscience, qui nous dit que nous sommes vraiment des pécheurs, que très souvent nous avons bafoué la justice, celle des hommes, mais aussi celle de Dieu, que nous avons triché, menti, volé, que nous avons fait du tort à notre prochain, que nous nous sommes livrés à la débauche de toutes les façons.

Mais le plus grand de tous les dangers serait, comme le dit la Parole, d'avoir une « conscience cautérisée » (1 Timothée 4, 2), c'est à dire qui ne pourrait plus faire son travail, qui ne serait plus capable de discerner le bien du mal. Cette conscience-là est comme un chemin foulé, dur, où plus rien ne peut pousser ; même la pluie qui vient du ciel ne peut le pénétrer. Dans la Bible, il est question d'une « conscience souillée » (Tite 1, 15). Si ces choses vous caractérisent, il y a une bonne nouvelle pour vous :

Vous pouvez avoir :

  1. « Le cœur purifié d'une mauvaise conscience » (Hébreux 10, 22),
  2. « La conscience purifiée des œuvres mortes » par le sang du Christ (Hébreux 9, 14).

Devenir une nouvelle créature​

Vous pouvez devenir une nouvelle créature par la foi en Jésus-Christ, c'est-à-dire un enfant de Dieu, un bien-aimé du Père : « Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle » (Jean 3, 16).

Écoutez Sa voix qui ne vous condamne pas ; elle vous dit : « Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi, je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous, et apprenez de moi, car je suis débonnaire et humble de cœur ; et vous trouverez le repos de vos âmes. Car mon joug est aisé et mon fardeau est léger » (Matthieu 11, 28-30).

Qui, dans sa vie de tous les jours, ne porte pas de fardeaux, qui ne gémit pas sous la puissance du péché ? Comment être délivré ? La Bible répond : « Si le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres » (Jean 8, 36).

Le Seigneur t’appelle : Viens à Lui ! Ouvre-lui ton cœur, Il t'aime.

Votre frère Lionel

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