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Les hommes forts de David

 

 

 

 

Canyonlands National Park, United States

Dans la Bible, Parole de Dieu, au chapitre 23 du 2ème livre de Samuel, nous trouvons :

  • d'un côté, des impies, « des fils de Bélial qui sont tous comme des épines qu'on jette loin, car on ne les prend pas avec la main, et l'homme qui les touche se munit d'un fer ou d'un bois de lance ; et ils seront entièrement brûlés par le feu sur le lieu même » (2 Samuel 23, 6-7),
  • d'un autre côté, les compagnons de David, ses hommes forts (v. 8-39).

Trois hommes forts

Nous pensons premièrement aux « trois des trente chefs qui descendirent et vinrent au temps de la moisson vers David, dans la caverne d'Adullam, comme une troupe de Philistins était campée dans la vallée des Rephaïm … David eut un désir et dit : qui me fera boire de l'eau du puits de Bethléhem, qui est près de la porte ? Et les trois hommes forts forcèrent le passage à travers le camp des Philistins, et puisèrent de l'eau du puits ... et l'apportèrent à David ; et il ne voulut pas la boire, mais il en fit une libation à l'Eternel. Et il dit : Loin de moi, Eternel, que je fasse cela ! N'est-ce pas le sang des hommes qui sont allés au péril de leur vie ? Et il ne voulut pas la boire. Ces trois hommes forts firent cela » (2 Samuel 23, 13-17).

Quelle abnégation de leur part, quel amour pour David, quel désir de lui plaire !

Et nous qui connaissons Jésus, le fils de David, et son amour pour nous, quel est le désir de nos cœurs ? L'aimons-nous ? Cherchons-nous à lui plaire ? Voulons-nous connaître et faire sa volonté ?

Ou bien avons-nous abandonné notre premier amour ? Si c'est le cas, souvenons-nous d'où nous sommes déchus, repentons-nous et faisons les « premières œuvres » (Apocalypse 2, 4-5).

Shamma

Nous avons aussi le bel exemple de Shamma, fils d'Agué, Hararite : « les Philistins s'étaient assemblés en troupe ; et il y avait là une portion de champ pleine de lentilles, et le peuple avait fui devant les Philistins : et il se plaça au milieu du champ, et il le sauva, et frappa les Philistins ; et l'Eternel opéra une grande délivrance » (2 Samuel 23, 11-12).

L'ennemi voulait ravir au peuple de Dieu ce que Dieu leur avait donné. Il en est toujours ainsi. Déjà le Pharaon, roi d'Egypte, voulait garder pour lui, d'abord les petits enfants, puis le bétail. Mais Moïse, homme de Dieu, lui a répondu « il n'en restera pas un ongle » (Exode 10, 26). Le chrétien, lui, possède, des bénédictions spirituelles, puisées dans la Parole de Dieu, et il doit les « tenir ferme » ( Apoc. 3, 25 ; 11).

Mais remarquons qu'il est dit que c'est l'Eternel qui opéra une grande délivrance.

Oui, nous avons une grande délivrance en Jésus et par Jésus. Par la foi et la repentance en son Nom, les fils de Bélial peuvent maintenant devenir des fils de Dieu. Qu'elle délivrance !

Benaïa

Que dire de « Benaïa, fils de Jehoïada, fils d'un homme vaillant, de Kabtseël, grand en exploits … C'est lui qui frappa un homme égyptien qui était de grande apparence » (2 Samuel 23, 20-21).

Ne nous laissons pas impressionner par les hommes et les choses de grande apparence, ni par celui qui est l'homme fort et de grande apparence (Satan). Christ, notre chef, l'a vaincu à la croix « en subissant la croix il a, de l'homme fort, brisé l'effort » (Hymnes et Cantiques 112).

Soyons donc encouragés et marchons en Christ notre Seigneur, qui vient bientôt.

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