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Qui est Jésus Christ ?

 

 

Un homme différent des autres ?

Il n'est pas né comme les autres, il n'a pas vécu comme les autres, il n'est pas mort comme les autres , et, surtout, il a fait une chose qu´aucun autre homme aurait pu faire : il est ressuscité d'entre les morts.

Cela va te paraître incroyable, mais cela est vrai. Il n'est pas resté dans la mort, il dit lui-même : « J'ai été mort ; et voici, je suis vivant aux siècles des siècles » (Apocalypse 1, 18).

Il n'est pas né comme les autres

Voici dans quelles circonstances Jésus-Christ vint au monde : « Marie, sa mère, était liée par fiançailles à Joseph ; or elle se trouva enceinte par l'action du Saint-Esprit, avant qu'ils n'aient vécu ensemble » (Matthieu 1, 18). Lorsque Marie fut avertie par l'ange Gabriel qu´elle concevrait un enfant, elle dit : « Comment ceci arrivera-t-il puisque je ne connais pas d'homme ? Et l'ange répondant, lui dit : L'Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te couvrira de son ombre ; c'est pourquoi aussi la sainte chose qui naîtra sera appelée fils de Dieu » (Luc 1, 34-35). Jésus est appelé « un agneau sans défaut et sans tache » (1 Pierre 1, 19). « Il n'a pas connu le péché » (2 Corinthiens 5, 21). « Il n'y a pas de péché en lui » (1 Jean 3, 5).

Il n'a pas vécu comme les autres

L’homme, « le premier Adam » (1 Corinthiens 15, 45), vit par sa propre énergie. Il tire de lui-même, de son propre fond, sa manière de vivre. Il est, comme l'apôtre Paul le nomme : « l'homme naturel » (1 Corinthiens 2, 14), animé seulement par son âme créée, sans la puissance et l'enseignement du Saint Esprit. Il ne fait que sa propre volonté, et sans le savoir il est esclave de Satan. Le Seigneur Jésus, lui, n'a jamais vécu pour lui-même, il n'a jamais fait sa propre volonté, il a toujours tiré sa force de l'Esprit Saint et du Père. « Je ne cherche pas ma volonté, mais la volonté de celui qui m'a envoyé » (Jean 5, 30). « Je suis descendu du ciel, non pour faire ma volonté, mais la volonté de celui qui m'a envoyé » (Jean 6, 38). « Il n'a jamais parlé de par lui-même » (Jean 7, 17-18). « Car moi, je n'ai pas parlé de moi-même mais le Père qui m'a envoyé, lui-même m'a commandé ce que je devais dire et comment j'avais à parler » (Jean 12, 49). Il a vécu par la foi, faisant toujours et sans interruption la volonté de Dieu son Père. « Je fais toujours les choses qui lui plaisent » (Jean 8, 29).

Il n'est pas mort comme les autres

Cloué sur le bois maudit de la croix, condamné injustement, souffrant atrocement, nous le voyons prier pour ses bourreaux : « Père pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu'ils font » (Luc 23, 34). « Le peuple se tenait là regardant ; et les gouverneurs aussi se moquaient de lui » (Luc 23, 35). « Les soldats aussi se moquaient de lui » (Luc 23, 36). Chez lui, aucune parole de méchanceté, de vengeance. Il se tourne vers le brigand qui est crucifié à sa droite et qui lui confesse sa culpabilité. A cet homme, Jésus fait cette promesse extraordinaire : « En vérité, je te dis ; aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis » (Luc 23, 43). Dans ces moments terribles de la croix, il se tourne vers sa mère pour la remettre aux soins et à l'amour de son disciple bien-aimé Jean (Jean 19, 26-27). Après six heures passées sur la croix dans de grandes souffrances et surtout dans les trois dernières, où il souffrit de la part de Dieu, car il portait alors nos péchés, nous l'entendons s'écrier « d'une voix forte disant : Eloi, Eloi, lama, sabachthani ? Ce qui interprété veut dire : Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? » Quelle manière étrange de mourir ! Non pas dans l'épuisement car il cria « à haute voix, [et] dit : Père entre tes mains je remets mon esprit. Et ayant dit cela, il expira » (Luc 23, 46).

Il est ressuscité, il a vaincu la mort

La mort même n'a pu le retenir. Le troisième jour, il sortit vivant du tombeau, comme le grand vainqueur. « Par la mort il rendit impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort c'est-à-dire le diable » (Hébreux 2, 14). « Le Seigneur est réellement ressuscité » (Luc 24, 34). « Le Père a envoyé le Fils pour être le Sauveur du monde » (1 Jean 4, 14).

Par la foi vous pouvez venir à lui, vous pouvez le connaître et recevoir de Lui la vie éternelle. Mais, pour cela, vous devez vous repentir et lui confesser vos péchés car il est écrit : « Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité » (1 Jean 1, 9).

« Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle » Jean 3, 16.

Que Dieu dans Sa grâce vous bénisse.

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