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Jahbets

 

« Et Dieu fit arriver

ce qu'il avait demandé »

« Et Dieu fit arriver ce qu'il avait demandé » (1 Chroniques 4,10 – fin du verset)

Quelle chose merveilleuse que cette parole de Dieu ! Dieu seul est capable de faire de telles merveilles. Lui seul est capable de donner une telle réponse à nos prières. Le croyons-nous ? Croyons-nous vraiment que « si nous demandons quelque chose selon sa volonté, il nous écoute ; et si nous savons qu'il nous écoute, quoi que ce soit que nous demandions, nous savons que nous avons les choses (litt. : les demandes) que nous lui avons demandées » (1 Jean 5,14-15). Mais demandons-nous vraiment ? Avec un désir profond de le glorifier, et de connaître sa volonté pour la faire. Demeurons-nous en Lui ? Ses paroles demeurent-elles en nous ? (Jean 15,7). Alors la promesse est là, sûre : « vous demanderez ce que vous voudrez et il vous sera fait (litt. : cela vous arrivera) » (Jean 15,7 - fin du verset).

Penchons-nous avec l'aide de l'Esprit Saint sur ce merveilleux verset de 1 Chronique 4,10 : « Et Jahbets invoqua le Dieu d’Israël ». Israël avait un Dieu. Toutes les autres nations de la terre ne connaissaient pas le Dieu d’Israël, le seul vrai Dieu, L’Éternel, créateur des cieux et de la terre. Quel privilège avaient ces hommes de connaître un tel Dieu et de pouvoir l'invoquer durant leur vie, tous les jours. Nous aussi, avant de connaître le Christ, nous étions « sans Dieu dans le monde » (Ephésiens 2,12), mais maintenant nous avons un Dieu, le même Dieu qu’Israël, mais qui s'est pleinement révélé en Christ comme notre Père : « Je monte vers mon Père et votre Père, et vers mon Dieu et votre Dieu » (Jean 20,17). Quel privilège, quelle grâce, mais aussi quelle responsabilité. « Et si vous invoquez comme père celui qui, sans acception de personnes, juge selon l’œuvre de chacun, conduisez-vous avec crainte pendant le temps de votre séjour ici-bas, sachant que vous avez été rachetés... par le sang précieux de Christ, comme d'un agneau sans défaut et sans tache » (1 Pierre 1,17-19).

Peut-être es-tu aujourd'hui dans la détresse, dans les soucis, dans la peine et tu ne discernes plus ton chemin. C'est le moment d'invoquer ton Dieu. Lui-même te dit : « Invoque-moi au jour de la détresse : je te délivrerai, et tu me glorifieras » (Psaume 50,15). Peut-être ne connais-tu pas ce Dieu qui s'est révélé en Jésus, ce Dieu qui « a tant aimé le monde, qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque (donc toi !) croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle » (Jean 3,16). « Car le même Seigneur de tous est riche envers tous ceux qui l'invoquent ; car quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé » (Romains 10,12-13).

Prenons garde de ne pas tomber dans la même faute qu'Israël : « Mais tu ne m'as pas invoqué ô Jacob ; car tu t'es lassé de moi, ô Israël ! » (Esaïe 43,22).

L’Écriture au contraire nous exhorte à ne point nous lasser en faisant le bien (Galates 6,9). Quel bien peut-il y avoir dans ce monde de plus grand, de plus beau que de connaître, servir, et d'invoquer ce Dieu merveilleux qui s’est pleinement révélé à de pauvres pécheurs tels que nous, qui ne méritions rien que son terrible jugement et qui a fait de nous en Christ ses bien-aimés enfants.

Que Dieu vous bénisse.

Lionel

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