Il y a dans la vie des bonnes et des mauvaises nouvelles.
La plus mauvaise nouvelle qu'un être humain sur cette terre peut apprendre c'est ce que la Bible dit au sujet des pécheurs − ceux qui ne vivent que pour eux-mêmes, sans se préoccuper ni de Dieu, ni du Seigneur Jésus Christ. La Bible déclare sans ambiguïté : « l'âme qui péchera, celle-là mourra » (Ézéchiel 18, 4). Lorsque nous mourrons, nous n'allons pas disparaître, nous n'allons pas dans le néant. Nombreuses sont les personnes qui prétendent que c'est de la folie que de croire à la vie éternelle, une vie qui continue au-delà de la mort. Pourtant, la Bible, l'un des livres les plus anciens de l’humanité, qui a apporté au monde les pensées les plus pures, les plus profondes et surtout qui nous parle de la vie au-delà de la mort, la Bible nous avertit de nous préparer à notre rencontre avec le Créateur.
« Prépare-toi à rencontrer ton Dieu » (Amos 4, 12).
Dans sa grâce, Dieu nous avertit. Il nous dit : « Je ne te tiendrai point pour innocent » (Jérémie 30, 11).
Tu es né dans ce que l'on appelait la chrétienté, tu as probablement vu des films sur la vie de Jésus de Nazareth, tu as peut-être entendu prêcher l'évangile, et tu possèdes peut-être même une Bible dans ta bibliothèque. Tu devrais donc savoir ce que Jésus a dit − « Moi (Jésus) j'ai ouvertement parlé au monde... et je n'ai rien dit en secret » (Jean 18, 20) − mais tu continues de vivre comme s'Il n'avait pas parlé, comme si tu pouvais continuer comme avant. Tu dis : « Demain sera comme aujourd'hui, et encore bien supérieur » (Ésaïe 56, 12). Pourtant, regarde ce qui est arrivé : cette pandémie, ce virus… Tu peux voir par toi-même la fragilité de la vie, la fragilité de ce monde. Combien ces choses devraient nous faire réfléchir sur le sens de l'existence. Job, un homme de la Bible, a dit : « mes jours s'en vont plus vite qu'une navette (de tisserand) » (Job 7, 6).
Après la mort, on ne disparaît pas, on ne se réincarne pas, car : « Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement » (Hébreux 9, 27).
Si nous mourons dans nos péchés, nous sommes perdus à jamais, « car le salaire du péché, c'est la mort » (Romains 6, 23), la séparation éternelle de la présence de Dieu, une éternité de tourment « dans l'étang de feu et de souffre » (Apocalypse 20, 10), ce que la Bible appelle « la seconde mort » (Apocalypse 20, 14). Voilà les mauvaises nouvelles.
Mais grâce à Dieu, notre Père, il y a aussi une bonne nouvelle.
La Bonne Nouvelle
Le mot évangile, du grec ancien euaggelion, signifie « bonne nouvelle ». La bonne nouvelle c'est que « Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle. Car Dieu n'a pas envoyé son Fils dans le monde afin qu'il jugeât le monde, mais afin que le monde fût sauvé par lui » (Jean 3, 16-17).
L'évangile est une bonne nouvelle, non seulement pour notre avenir éternel, mais aussi pour notre vie durant notre passage sur terre. L'apôtre Paul, dans son épitre à Timothée, lorsqu'il parle de la piété nous dit : « la piété est utile à toutes choses, ayant la promesse de la vie présente et de la vie qui est à venir » (1 Timothée 4, 8). Nous avons tous des besoins, d'ordres différents, mais pour cela aussi Dieu − lorsqu'il est devenu notre Père, par la foi en son Fils Jésus Christ mort sur la croix au calvaire pour nos péchés − s'engage : « Mon Dieu suppléera à tous vos besoins selon ses richesses en gloire par le christ Jésus » (Philippiens 4, 19). « Celui même qui n'a pas épargné son propre Fils, mais qui l'a livré pour nous tous, comment ne nous fera-t-il pas don aussi, librement, de toutes choses avec lui ? (Romains 8, 32). Tous ces dons sont merveilleux et tout enfant de Dieu en jouit, mais il y a beaucoup plus que cela : la communion que nous avons avec le Père et avec son Fils Jésus Christ (1 Jean 1, 3).
Dieu veut, et peut, nous remplir jusqu'à toute sa plénitude (Éphésiens 3, 19). Dieu, en Christ, par son Esprit, a la capacité de faire déborder nos cœurs de joie, de paix, d'amour et de reconnaissance. Tout cela par la foi en un Dieu que nous ne voyons pas, mais que nous connaissons en Jésus, le Fils de son amour : « Celui qui m'a vu (dit Jésus), a vu le Père » (Jean 14, 9). « Moi et le Père nous sommes un » (Jean 10, 30).
Quelle bénédiction surabondante d'être pardonné, d'être « rendu capable de participer au lot des saints dans la lumière, délivré du pouvoir des ténèbres et transporté dans le royaume du Fils de son amour » (Colossiens 1, 12-13).
Si tu ne connais pas encore ce salut, tourne-toi donc vers le Seigneur Jésus. Confesse lui tes péchés. Il est écrit dans le Saint Livre, la Bible : « Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité » (1 Jean 1, 9).
« Celui qui croit en moi (dit Jésus) a la vie éternelle » (Jean 6, 47).
Que le Seigneur te bénisse.
Votre frère Lionel.
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